
Ce texte est originellement paru en anglais; la version française suit ci-dessous.
Je me souviens de la première fois où j’ai tué un cerf. Je ne sais pas pourquoi mais avant qu’on commence à retirer sa peau ou quoi que ce soit, j’ai marché jusqu’au cerf et j’ai posé ma main sur son corps. J’ai senti qu’il était encore chaud. À ce moment, j’ai su qu’il était comme moi. Ayant pris sa vie, je lui devais maintenant la mienne.