
Le 1er mai dernier, comme chaque année depuis plus d'un siècle, c'était la Journée internationale des travailleuses et travailleurs. Malgré le confinement, plusieurs personnes ont pris action pour redécorer la ville. La situation peut sembler sombre, mais il y a quand même quelques points positifs malgré tout.
L'air de nos villes est plus pur qu'il ne l'a été depuis au moins un siècle. La consommation pétrolière ralentit en même temps que la production de gaz à effet de serre. Pour beaucoup de gens, le confinement forcé est un moment de revoir notre relation malsaine avec le travail dans cette société capitaliste hyperperformante et hyperproductive.